L’un de ses compagnons d’étude témoigne : « Michel vivait dans la misère, vendant des journaux pour subsister et subvenir aux besoins de ses parents ».
Et le célèbre évêque de Zica, puis d’Ohrid, Nicolas Vélimirovitch, aujourd’hui canonisé, dira :
« Faible de corps, avec des yeux clairs et le sourire sur le visage, il vendait des journaux à Belgrade. Après la première guerre mondiale, il venait chaque matin devant le bâtiment du patriarcat et criait : « Les journaux ! Les journaux ! ».
Nous lui achetions tous des journaux, mais personne ne soupçonnait que cet homme avait terminé des études supérieures en Russie. »